Le grand bleu
Revoir le film culte de Luc Besson, c’est replonger dans les souvenirs des années 80
tout en planant dans les paysages marins des cyclades et de Taormine.
Port de la combinaison facultatif.
Par Caroline Veunac
Temps de lecture 1 min
Dans le contexte lié à la propagation du COVID-19, Somewhere Else vous propose chaque jour un film de plein air que nous aimons particulièrement. Une sélection de bulles de cinéma pour sortir de chez vous par le biais du 7e art !
“Oh my baby I Love you, my lady blue…” Depuis quelques jours, on se surprend à fredonner cet air en piquant une tête dans notre baignoire sabot. C’est que pour toute une génération née entre 1970 et 1980, Le Grand Bleu, dont la chanson d’Eric Serra est l’hymne planant, a constitué une certaine idée de la liberté. Celle de Jacques Mayol, cet apnéiste de l’extrême fuyant la société sous la surface des océans. Alors certes, plonger à moins 100 mètres dans le silence des fonds sous-marins, c’est un peu claustro comme trip ça aussi. Mais avec ses paysages de grand large grec ou sicilien, et la jeunesse insolente de Jean-Marc Barr et Rosanna Arquette, Le Grand Bleu reste un pur moment d’évasion, dans l’espace et dans le temps.
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