Call me by your name

Écrit par le grand James Ivory et mis en scène par l’italien Luca Guadagnino, Call me by your name
fait sensation lors de sa sortie en 2017. Le magnétisme juvénile de Timothée Chalamet,
jeune acteur aussi sexy que doué, n’y est pas pour rien…

Par Caroline Veunac

Temps de lecture 1 min

Call me by your name

Bande Annonce

Dans les années 80, Elio, 17 ans, s’éprend violemment d’Olivier, un étudiant américain plus âgé que lui qui fait escale dans la villa italienne de ses parents, un couple d’intellos bourgeois-bohème. Call me by your name pourrait n’être qu’une bluette de roman-photo si un essaim de talents ne s’était pas formé pour en faire une perle de mélo estival. James Ivory adapte avec une infinie délicatesse le roman d’André Aciman (il décrochera d’ailleurs un Oscar), mis en scène avec lascivité par Luca Guadagnino, qui parvient, avec l’aide d’un décor enchanteur et d’une pêche bien mûre, à capter l’ivresse sensuelle d’un mois d’août dans la campagne lombarde. Et puis il y a Timothée Chalamet, sa maigreur de petit lord, sa petite gueule hyper-sensible, sa nervosité toute européenne, et Armie Hammer, ce stéréotype de séducteur yankee, grand, blond, à la fois raide et rayonnant… Pour qui rêverait de voir Arthur Rimbaud fricoter avec Errol Flynn, c’est ici que ça se passe.

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