s

Laura Wandel, réalisatrice d'Un Monde

« J’avais envie de renvoyer le spectateur à sa propre enfance. »

« J’avais
envie
de renvoyer
le
spectateur à
sa
propre enfance.
»

Interview

Avec Un Monde, la réalisatrice bruxelloise Laura Wandel signe un premier long-métrage d’une beauté suffocante, immersion dans le quotidien scolaire d’une fillette témoin du harcèlement de son frère. Elle nous parle de la fabrication du film.

L'Effort commercial, de Sarah Arnold et Aline Crétinoir

Un film à quatre mains

Un film
à
quatre mains

Pré-sélection César 2022

Né de la collaboration entre scénariste et une réalisatrice au sein du dispositif Femmes actives, L’Effort commercial est aujourd’hui présélectionné aux César. Retour sur la genèse du court-métrage avec ses créatrices, Aline Crétinoir et Sarah Arnold.

Les Arcs Film Festival

Aux Arcs, le cinéma d’après

Aux Arcs,
le
cinéma d’après

Interview

Les Arcs Film Festival s’est achevé samedi sur la consécration du film 107 Mothers du Slovaque Peter Kerekes. Sur place, six personnalités nous ont livré leur vision du cinéma face aux enjeux d’aujourd’hui et de demain, de la pandémie à la montée en puissance des plateformes, en passant par #MeToo et l’exigence d’inclusivité.

Cyril Dion, réalisateur d'Animal

« Comment on peut vivre à 16 ans avec l’idée qu’il n’y a pas d’avenir ? »

« Comment on
peut
vivre à
16
ans avec
l’idée
qu’il n’y
a
pas d’avenir
? »

Interview

« Comment on fait pour vivre à 16 ans avec l’idée qu’il n’y a pas d’avenir ? »Présenté dans la sélection « climat » du Festival de Cannes, le nouveau documentaire de Cyril Dion, Animal, appuie sur la corde sensible de tous les éco-anxieux, tout en leur donnant matière à espérer, se lever et combattre. Rencontre avec un réalisateur qui préfère l’action à la dépression.

Poppy Field, au Festival Chéries-Chéris

Eugen Jebeleanu : « Le cœur du film, c’est l’homophobie internalisée. »

Eugen Jebeleanu
:
« Le
cœur
du film,
c’est
l’homophobie internalisée.
»

Interview

Dans Poppy Field, présenté au Festival Chéries-Chéris, qui se déroule à Paris jusqu’au 30 novembre, le metteur en scène de théâtre Eugen Jebeleanu suit un gendarme homosexuel, contraint d’encadrer une manifestation homophobe dans un cinéma de Bucarest. Un beau premier film, au carrefour du politique et de l’intime. réalisateur qui préfère l’action à la dépression.

Appel à courts-métrages

Phénoménales : la science au féminin pluriel

Phénoménales :
la
science au
féminin
pluriel

Interview

Avec l’appel à courts-métrages Phénoménales, l’association Femmes & Cinéma invite à changer la représentation des femmes dans les métiers des sciences et des technologies. Sa co-fondatrice, Sandrine Pillon, revient sur l’histoire de l’association et sur la nécessité de cette nouvelle initiative.

Morgane Baudin, co-fondatrice de Pixetik

« Le cinéma est un moyen de changer le monde. »

« Le
cinéma
est un
moyen
de changer
le
monde. »

Interview

Historiquement dédiée au placement de produit responsable, Pixetik évolue depuis 2020 vers l’accompagnement des scénaristes, pour mieux intégrer les questions environnementales à leurs récits. Rencontre avec sa fondatrice, Morgane Baudin.

Ismaël El Iraki, réalisateur de Burning Casablanca

« Casa, c’est toujours là que ça brûle. »

« Casa,
c’est
toujours là
que
ça brûle.
»

Interview

À 38 ans, Ismaël El Iraki signe un premier long-métrage à l’énergie rock contagieuse et salvatrice, qui nous plonge dans l’underground casablancais avant de foncer dans la lumière du Haut Atlas. Le réalisateur nous raconte l’histoire d’un film où la sensualité répare les corps et les âmes meurtris.

Ninja Thyberg et Sofia Kappel, réalisatrice et actrice de Pleasure

« Ce que le porno veut cacher, je voulais le montrer. »

« Ce
que
le porno
veut
cacher, je
voulais
le montrer.
»

Interview

Plongée dans la vie d’une aspirante porn star à Los Angeles, Pleasure est aussi une double révélation : celle de Ninja Thyberg, sa réalisatrice ; et celle de Sofia Kappel, son actrice principale. Ensemble, elles signent un portrait d’une crudité cinglante, qui met à jour l’exploitation du corps des femmes dans la société toute entière.

Para One, réalisateur de Spectre : Sanity, Madness & The Family

« J’aime l’idée d’un film qui en cache un autre. »

« J’aime
l’idée
d’un film
qui
en cache
un
autre. »

Interview

On le connait surtout comme musicien, moins comme réalisateur. Dans son premier long-métrage, Spectre : Sanity, Madness & The Family, Para One compose un voyage temporel, visuel et sonore, dans le passé de sa famille. Sous l’influence revendiquée de Chris Marker, son maître à filmer.