Très court mais costaud
Pour sa 22e édition, le Très court festival a réagi à la crise en transposant l’intégralité de sa version en ligne.
Une version digitale roborative, qui donne une vitrine à des cinéastes en herbe du monde entier.
Rencontre avec la coordinatrice générale du festival Perrine Dufourcq.
Interview : Caroline Veunac
Temps de lecture 4 min.
Du 5 au 14 juin, le Très court festival propose aux internautes une édition 100% online, constituée d’une sélection de 44 films de moins de 4 minutes, issus de 13 pays, soumis à l’appréciation d’un jury présidé par le réalisateur de Doberman et de Blueberry Jan Kounen. Pour la deuxième année consécutive, le défi 48 heures, cette année sur le thème de l’urgence climatique, donnera également lieu à une remise de prix. Le Très court festival, qui s’appuie sur un réseau de plus de 70 villes partenaires dans le monde, de Hong Kong à Panama City, reflète l’effervescence de la création cinématographique émergente, et offre un tremplin en or aux cinéastes de demain. La coordinatrice générale du festival Perrine Dufourcq nous en dit plus.
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