Très court mais costaud

Pour sa 22e édition, le Très court festival a réagi à la crise en transposant l’intégralité de sa version en ligne.
Une version digitale roborative, qui donne une vitrine à des cinéastes en herbe du monde entier.
Rencontre avec la coordinatrice générale du festival Perrine Dufourcq.

Interview : Caroline Veunac

Temps de lecture 4 min.

Perrine Dufourcq

Interview

Du 5 au 14 juin, le Très court festival propose aux internautes une édition 100% online, constituée d’une sélection de 44 films de moins de 4 minutes, issus de 13 pays, soumis à l’appréciation d’un jury présidé par le réalisateur de Doberman et de Blueberry Jan Kounen. Pour la deuxième année consécutive, le défi 48 heures, cette année sur le thème de l’urgence climatique, donnera également lieu à une remise de prix. Le Très court festival, qui s’appuie sur un réseau de plus de 70 villes partenaires dans le monde, de Hong Kong à Panama City, reflète l’effervescence de la création cinématographique émergente, et offre un tremplin en or aux cinéastes de demain. La coordinatrice générale du festival Perrine Dufourcq nous en dit plus.

Voir aussi

Présenté dans la section Encounters du Festival de Berlin, en ligne jusqu’au 5 mars

Films
3 mars 2021

Moon 66 Questions au 71e Festival de Berlin

Critique

Repéré dans la section Encounters de la Berlinale, qui bat son plein online jusqu’au 5 mars (en attendant un évènement physique en juin), le premier long-métrage de la Grecque Jacqueline…

Actuellement en salle

Films
19 mai 2021

Slalom, de Charlène Favier

Critique

Distingué par le label Cannes 2020, Slalom raconte avec force et justesse l’émancipation d’une jeune skieuse victime d’abus sexuel. En cette semaine de réouverture des salles, le talent de sa…